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Récemment, des chercheurs de l’université de Manchester ont évalué les risques de contamination liés aux téléphones portables. Ces derniers, parce qu’ils sont stockés dans des sacs ou des poches de pantalons et parce qu’ils sont en contact avec des mains pas toujours propres, sont parmi les objets quotidiens les plus souillés de bactéries. Dans ce domaine, les portables arrivent en tête devant les poignées de porte, les semelles de chaussures et même les cuvettes de toilettes !
Cette information au caractère sensationnel a été relayée abondamment dans les médias. Elle soulève surtout un problème potentiellement grave : celui du risque d’infections nosocomiales (contractées à l’hôpital après un soin ou une intervention), directement liées à l’usage de téléphones portables par le personnel soignant.
È interessante ricordare i risultati di uno studio pubblicato nel 2009 in cui gli autori erano interessati al tasso di contaminazione dei telefoni cellulari utilizzati dal personale infermieristico. Per questo, i campioni erano stati prelevati dalle mani e dai laptop di duecento partecipanti.
Cette étude avait démontré que 94,5% des téléphones portables étaient contaminés avec différentes bactéries, dont certaines potentiellement dangereuses et redoutées en milieu hospitalier, par exemple le staphylocoque doré. Selon les auteurs, les portables peuvent donc constituer des vecteurs d’infections nosocomiales.
Fonte: Ulger F et al: Siamo svegli quanto contaminati i nostri telefoni cellulari con agenti patogeni nosocomiali?. Annali di microbiologia clinica e antimicrobici 2009.
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